dimanche 11 décembre 2011

Faites-vous confiance !

On a tendance à trop chercher approbation, à chercher des signes des autres qui nous montrent que nous sommes sur le bon chemin. Nous voulons l'encouragement de cet ami de ce proche, ou parfois nous voulons nous sentir exister par notre réussite matérielle par exemple.

Mais plutôt que de chercher des signes de reconnaissance à l'extérieur, que diriez-vous de regarder à l'intérieur ? Et si vous faisiez confiance à vos propres idées à votre propre intuition ?

Mais le fait est que nous faisons tous des erreurs et nous allons tous continuer à faire des erreurs. 


C'est à l'intérieur que vous devez trouver le signe comme quoi ce que vous faites est bien.

Commencez par vous écouter vous-même en remarquant ce que votre intuition vous dit. Soyez conscients de cette petite voix intérieure. Ayez confiance en vous pour prendre des décisions.

vendredi 11 novembre 2011

Les 6 habitudes des gens qui ratent tout !

Bien sûr, le titre humoristique. Mais c'est une bonne façon de comprendre certaines personnes …il n'est pas question de les juger, juste de dire qu'il ne faut pas faire comme elle si on veut parvenir à quelque chose…
Attention ! Si vous voulez avoir une vie formidable ne mettez jamais en application ces règles !

1. Ils pensent, disent, et font des choses négatives.

Ils voient les problèmes dans chaque opportunité. Ils se plaignent qu'il fait trop chaud. Ils râlent parce qu'il pleut. Ils reprochent au vent de les décoiffer. Ils pensent que le monde est contre eux. Ils voient les problèmes, mais jamais les solutions. Chaque petite difficulté est une catastrophe pour eux. Ils sont terrifiés devant l'idée d'échouer. Ils se découragent facilement au lieu d'apprendre de leurs erreurs. Ils ne vont jamais de l'avant.

2. Ils agissent avant de réfléchir.

Ils sont impulsifs. S'ils voient quelque chose qui leur plaît, ils achètent tout de suite. Sans se poser la moindre question. Puis ils voient quelque chose de mieux. Ils regrettent de ne pas avoir profité de l'affaire. Ils dépensent jusqu'à ce qu’ils n'aient plus rien. Ils ne pensent pas à l'avenir. Ce qu'ils veulent, c'est le plaisir du moment. C'est tout. Ils ne pensent pas aux conséquences.

3. Ils parlent beaucoup plus qu'ils n'écoutent. Ils veulent absolument être au centre de l'attention et sont capables pour ça de dire n'importe quoi, de mentir. Ce qu'ils disent n'est pas censé d'ailleurs. Lorsque des gens les conseillent, ils n'écoutent pas parce qu'ils sont trop orgueilleux pour admettre leurs erreurs. D'après eux, ils font toujours tout très bien.

4. Alors que les gens qui réussissent traitent leurs échecs comme des tremplins vers le succès, les gens qui ratent tout sont catastrophés par les échecs. Au début, ils sont motivés à l'idée de commencer un projet. Mais ensuite, ils perdent tout intérêt, dès la moindre difficulté. Puis ils cherchent un nouveau projet. Et ils échouent. Ils n'ont pas la persévérance de continuer et de réaliser leur rêve.

5. Ils perdent leur temps.
Il ne savait pas quoi faire. Ils peuvent juste se contenter de manger, de boire, de regarder la télé. Mais ils ne font que ça. Ils n'ont pas d'équilibre entre travail (ou activités utiles) et plaisir car ils choisissent systématiquement la distraction.

6. Ils méprisent les autres
Ils pensent toujours tout savoir et pensent que les autres ne valent rien. Ils n'hésitent pas à dire des méchancetés dans le dos des gens et à dévaloriser ce que font les autres.

Voilà…maintenant, faites l’inverse de tout ça !

samedi 5 novembre 2011

Pratiquez l’auto-hypnose ! Mode d’emploi (partie 2)



Troisième étape : les suggestions


Une fois que vous avez fini cette phase, vous êtes prêt à rentrer dans la phase des suggestions. Le fait de vous être relaxé vous a permis d'accroître votre « suggestivité ». C'est-à-dire que vous avez préparé votre esprit subconscient à recevoir vos suggestions. La façon la plus commune et la plus facile de les appliquer est avoir travaillé dessus un moment, de les avoir préparées convenablement et de les avoir appris par cœur.
Les suggestions doivent être rédigées à la première personne avec « je ».

En règle générale, la suggestion la plus efficace est une image. Par exemple, visualisez une qualité, une caractéristique que vous aimeriez avoir dans une situation donnée.
Même si certaines personnes voient des résultats instantanés, la plupart du temps, cela prend du temps. Donc ne soyez pas impatient.



Quatrième étape : sortir de l’état d’auto-hypnose


Une fois que vous avez fini de vous répéter les suggestions, vous pouvez terminer votre séance. Vous pouvez juste ouvrir les yeux, vous lever et continuer à vaquer à vos occupations mais ce n'est le mieux à faire.


Il est préférable de marquer clairement la fin de la séance. Cela permettra de fixer une barrière une frontière claire entre l’état hypnotique et l'état ordinaire de conscience. Cela vous évitera de vous endormir à chaque séance. Si vous faites une sieste tout de suite après avoir fini l'autohypnose, sans limites précises, sans être revenu à un état de conscience ordinaire, vous prenez un risque, celui de vous endormir à chaque séance car le l’hypnose sera assimilé à la sieste. Je vous conseille de ne pas aller dormir dans les cinq minutes qui suivent, juste le temps que la frontière soit bien claire entre sommeil et hypnose.


Comptez de 1 à 20 et décidez que vous serez de plus en plus conscient à chaque chiffre.


Vous pouvez aussi aller plus vite et ne compter que jusqu’à trois. « Un, je commence à reprendre conscience, à revenir à un état de veille. Deux, je deviens plus vigilant. Trois, je suis entièrement conscient. »


L'auto-hypnose obtient des résultats formidables si vous êtes réguliers dans votre pratique… Ce que je viens de vous présenter constitue des exercices préparatoires à l’auto-hypnose. Vous pouvez vous en contenter et progresser lentement et sûrement ou encore approfondir cette technique en jetant un œil dans ma boutique.

dimanche 30 octobre 2011

Pratiquez l’auto-hypnose ! Mode d’emploi (partie 1)




Première étape : se relaxer

La première étape dans l'induction hypnotique est de ralentir jusqu’à ce que vous vous sentiez relaxé. Votre corps se relaxe et ensuite votre esprit suit. La relaxation, celle qui est vraiment profonde et bénéfique, est une capacité que la plupart des gens ont perdue ou n’ont jamais développée. 

Certains y parviennent facilement cependant. Ils laissent juste aller leur tension et chaque partie de leur corps. Selon votre expérience et notre niveau de stress, cette phase peut durer de 30 secondes à une demi-heure. Au fur et à mesure, vous réduirez le temps. Mais pour l'instant ne soyez pas pressés. La méthode la plus connue de relaxation consiste à tendre chaque partie de votre corps une par une pendant quelques secondes, puis à relâcher.

Une fois que la phase de relaxation a été achevée, vous pouvez approfondir votre état de détente. N'attendez rien et laissez-vous aller.
Rentrer dans un état d'hypnose est d'une certaine façon similaire à tomber dans le sommeil. Si vous essayez à tout prix de dormir, c'est là que le sommeil est le plus difficile à obtenir. C'est la même chose pour l'état d'hypnose : vous ne vous rendrez pas compte que vous êtes dans cet état. Plus tard, après des mois de pratique régulière, vous serez davantage conscients.

En tout cas pendant l'état d'hypnose, vous ne perdez pas conscience. Vous êtes capables de réagir sur le champ si un événement imprévu arrive. Et vous gardez le contrôle. Vous pouvez arrêter quand vous le voulez. Il n’y a aucun danger.
Être capable d'entrer dans un état d'hypnose peut prendre d'une semaine à plusieurs mois. Mais même si vous n'arrivez pas vous rester détendu, la séance vous est quand même bénéfique.

Deuxième étape : approfondir la détente…
la technique du comptage

La façon la plus connue d'approfondir une relaxation est la technique du comptage. C'est aussi la préférée d'Hollywood. Vous ne voyez quasiment que celle-là dans les films où on parle d’hypnose !

Vous devez simplement commencer par dire « 20 » dans votre tête. Puis « 19 ». Puis « 18 »
Imaginez que vous rentrez plus profondément en vous même à chaque chiffre. D'autres pensées interféreront probablement pendant que vous comptez. C'est normal…mettez-les simplement de côté et continuez à compter.

Vous devez compter ni trop lentement ni trop rapidement. L'idéal est de compter un chiffre toutes les deux secondes. Mais, faites ce qui vous semble le plus approprié pour vous détendre.

vendredi 21 octobre 2011

Vous n’écouterez plus jamais des reproches de la même façon…

Je continue de raconter une petite histoire qui m’est arrivée avant d’en arriver au but… Donc continuons…

A la suite du sujet de ce forum dont j'ai parlé ici (http://bienetre22.blogspot.com/2011/10/ton-blog-est-pourri.html), une membre du forum m'a fait une réflexion très intéressante. Elle m'a parlé d'un livre nommé « les quatre accords toltèques » qui explique qu'il ne faut pas réagir aux choses de façon personnelle. Si quelqu'un fait une réflexion, une critique, cela ne regarde que lui. 

Il projette chez les autres ce qu'il a peur de voir en lui. Cela signifiait que je n'avais pas à m'inquiéter des accusations de la dame du forum qui avait une opinion très négative de moi, car ce qu'elle pensait ne regardait qu'elle. 

Mais je n'avais pas à être blessé de ses remarques. Cette façon de voir les choses m'a semblé extrêmement intéressante.
Allons plus loin dans cette réflexion. Imaginons qu'un ami vous accuse d'être paresseux par exemple. Ne prenez pas cette réflexion au sérieux. Il n'y a que vous qui puissiez décider ce que vous voulez changer dans votre vie, ce que vous voulez faire, ce qui est important pour vous. Personne n'a à vous dicter votre conduite. Donc, cet ami vous accuse de paresse. 

La question à vous poser n’est pas est-ce que oui ou non vous êtes paresseux, mais en quoi cet ami se sent paresseux dans certains domaines de sa vie. Peut-être que l'on vous accuse de vous laisser aller dans votre travail, alors que la personne qui vous fait ce reproche se laisse aller dans les tâches ménagères. Mais cette personne a l’impression de se laisser aller dans un domaine précis, sinon elle ne ferait pas ce reproche ! Si elle est sensible à cela, c’est justement parce que ça lui « parle », parce qu’elle sent cette « caractéristique » en elle.

Ce n'est qu'un exemple. Ce que je veux dire, c'est que ce que les autres voient chez nous sont aussi présents eux, mais pas forcément dans le même domaine (vie privée, vie professionnelle, amour, amitié, loisirs etc.). Il faut savoir que lorsque nous jugeons quelqu'un, la plupart du temps, c'est que nous projetons les défauts que nous avons peur d'avoir sur les autres.

mardi 18 octobre 2011

Ton Blog est pourri!!!

Il m'arrive quelquefois d'intervenir sur des forums afin de donner des conseils et de faire connaître mon blog. L'autre jour, j'ai simplement partagé une vidéo de mon blog, lorsque l'on m'a attaqué sur « l'inutilité » de mon travail. Entre-temps, le sujet, qui a déclenché beaucoup de polémiques a été supprimé. 

Mais, je partage avec vous la vidéo que j'ai faite pour me « défendre ».  Je mets le texte au-dessous de la vidéo pour ceux qui préfèrent lire au lieu d'écouter. 




Ton Blog est pourri!!!

Depuis pas mal de temps,  j’aime suivre attentivement un forum à  cause de sa grande connaissance et de son savoir-faire pour aider des gens d’un point de vue psychologique.

Un jour, une charmante dame m’a dit : « Ton blog est inutile » « Tu fais du copier-coller » « Je pense sincèrement que ton blog n'est aucunement utile, désolée. Que ce qui est dit soit de bonnes astuces, ce n'est pas le propos: elles sont partout. C'est comme dire "mangez 5 fruits/légumes par jour": pareil.»

Elle m’a blessé. Oui, elle m’a vraiment blessé.
Et oui !!! Cette dame aide à des gens à se sentir bien, elle est là… elle répond à quelques personnes.
Mais à moi, elle m’a cassé… elle ne m’a pas aidé… bien au contraire, elle m’a démoralisé. Jusqu’au point qu’elle m’a fait douter : je me suis demandé s’il était convenable de continuer avec mon blog. 
J’y ai pensé pendant toute la nuit, et il est actuellement 7 :00 du matin.
Mon blog est pourri ? Je ferme ? Je suis un guignol ?

Qu’en penses-tu Jacqueline ? Mes conseils simplistes ton servi à quelque chose ? 

Et toi Didier ? Quand tu t’es présenté directement sur ma boite mail en me demandant un conseil au sujet de ton frère ?

Djamila de Casablanca ? Comment est l’ambiance chez toi depuis que l’on a eu une conversation téléphonique parce que tu avais des difficultés à t’exprimer en écrivant en français ?(Les prénoms ont été changés.)

Je pourrais poser la même question à toutes les personnes avec qui j’ai eu des conversations en direct par mail notamment. 
 
Que dois-je faire après l’affirmation de cette dame que la présence de mon blog n’est pas à sa place dans le forum ? Je cite sa phrase :
«  Je pense que ton blog n'est pas au bon endroit, du tout. » Wouaou !!! C’est dur à avaler…

Francine !… Comment m’as-tu connu ? Où as-tu vu l’adresse de mon blog ? Comment te sens-tu ici ? Je cite directement tes phrases :
« Je me sens comme à la maison dans ton blog… Merci de me répondre avec tes exemples qui sont si facile de comprendre… »
"Depuis que je te connais, j’ai comme une impression d’avoir un frère qui m’oriente toujours dans la bonne direction…Merci Antoine d’être comme tu es…"

Quand je vois des commentaires comme ceci, je veux m’améliorer encore plus. Je veux en donner plus…Et la réponse est non. Je ne vais pas fermer mon blog.
Et l’autre réponse est oui, je vais continuer à me faire connaitre sur les forums, pour inviter d’autres personnes à venir à la maison.
Parce que ici c’est petit, c’est simple, sympa, joli, harmonieux, c’est décoré à ma façon, c’est dit à ma façon, et c’est chez moi… donc tout le monde peut venir.

Ahhhh ! J’oubliais autre chose importante…
Cette charmante dame qui dit aider les gens (je n’en doute absolument pas) sauf moi, me dit… Je cite textuellement :
« Ton blog, excuse-moi la dureté, ne sert strictement à rien à part à toi même, comme bon nombre de ses équivalents faits de copier-coller.. »   Ufffff !!!

Qui ne s’inspire pas des idées lues ailleurs pour fonder les siennes ? Nous sommes nés en sachant tout ce que l’on sait ? Ne prenons nous pas une citation ou une idée de quelqu’un très renommé pour donner le bon exemple ?

C’est vrai, des fois je fais du copier-coller… un en particulier que j’adore et pour laquelle j’ai fait un article et audio. Il s’agit de Charlie Chaplin « Le jour où je me suis aimé pour de vrai»… Un texte que j’adore et que j’ai partagé avec mes lecteurs. Et bien il y avait beaucoup de personnes qui ne le connaissaient pas, et d’autres qui oui le connaissaient mais qui ont eu beaucoup de plaisir à le relire et à à l’écouter avec ma voix.

Il y a-t-il quelque chose de mal à réinterpréter une citation, un article ou encore un livre et faire « de la pub » et aider d’autres personnes qui n’ont pas eu la chance de tomber dessus avant ?
Parce que selon la façon de penser de cette dame… tout ce qui a été dit une fois, ne peut pas être redit, reformulé ou expliqué, sinon c’est du copier-coller…

Je suis désolé ma chère dame, moi quand j’écoute quelque chose qui me plait, je le partage avec mes proches.
Enfin bref… on m’a fait sentir comme un délinquant, on a voulu me casser, et me jeter en disant que je ne suis pas le bienvenu. Mais je crois que ce n’est pas l’avis de tout le monde.
En plus, comment peut-elle critiquer un blog sans le lire ? En survolant comme elle dit ?
Je cite textuellement :
« Antoinecar, ce qui est rigolo, c'est que non, je ne lis pas grand-chose.
Il suffit de survoler, à la fnac, sur internet, dans les magazines féminins, les articles de ce site même etc.. »

Non… Je ne pense vraiment pas que ce soit une bonne action de casser des gens comme ça… sans savoir ce qu’ils sont réellement.
Détruire est très facile à faire, et en plus on peut faire très mal à autrui et des fois sans s’en rendre compte. Mais soyons plus humain. Si l’on parlait uniquement pour voir les choses positives de tout ce qui nous entoure, la vie serait réellement différente.

Ma chère dame, je m’adresse directement à vous maintenant…

Croyez-vous réellement que je sois un excrément de la société pour me parler de la façon donc vous l’avez fait, ou… respirez un bon coup, prenez votre tête entre vos mains, fermez les yeux, et pensez à moi pour un instant seulement, mais avec votre cœur…
N’y a-t-il pas des choses positives en moi ?
Même si votre réponse est un tout petit « oui »…Et bien vous n’avez pas le droit de me considérer comme vous l’avez fait.
Nous sommes ici pour un même but. De s’entre aider entre nous…
Mais chacun à sa façon…

Vous m’avez attaqué et je me suis défendu, mais maintenant gardons notre énergie pour ce qui en vaut la peine.
Donc,  si vous n’avez pas le même point de vue que moi et que cela vous gêne, et bien c’est votre problème, mais s’il-vous-plaît, laissez-moi tranquille…

Je ne fais de mal à personne.





La vidéo s'arrête ici....


Voici le message que j'ai reçu de Véronik, lectrice du blog, hier...


Bonjour Antoine,

Je suis sidérée par les propos de cette dame !
Si pour elle, le blog ne sert à rien, il en va tout autrement pour d'autres.
Moi, je suis ravie d'être un jour tombée sur votre blog, je suis ravie d'être entrée en relation avec vous, d'avoir échangé et profité de vos soins et conseils.
Les audios que vous m'avez envoyé sont la preuve de votre bonté, de votre envie, de faire du bien autour de vous dans un périmètre très large puisque la planète
entière peut profiter de vos propos. 
Sans ce blog, je ne vous aurait probablement jamais rencontré de ma vie.
Si ce blog déplaît à cette dame, qu'elle aille voir ailleurs. 
C'est ça la démocratie et la liberté de choisir ce qui est bon ou pas pour soi.
Elle a le droit de ne pas aimer mais pas d'incriminer !

Là, j'ai pris mon clavier pour vous apporter mon soutien pour votre blog en toute amitié.
Grâce à lui, j'ai découvert le texte de Charlie Chaplin que je ne connaissais pas et qui de toute beauté. Donc, merci de me l'avoir fait découvrir car il est magnifique.
Ne doutez pas du bien que vous pouvez apporter Antoine.
Je vous souhaite de continuer longtemps à nous offrir des solutions de bien-être.

Si vous le souhaitez, vous pouvez diffuser ce mail sur votre blog.
Bonne journée Antoine et gardez courage car votre travail n'est pas vain.
Bien cordialement,

mardi 11 octobre 2011

6 autres idées pour penser positivement et être optimiste

1.       Fréquentez au maximum les gens optimistes. C'est une habitude à prendre. Si vous ne connaissez personne dans un endroit, allez en priorité vers ceux qui vous semblent joyeux. Si vous vous sentez un petit peu triste, appelez en priorité votre ami le plus optimiste, pas celui qui voit tout de façon négative.

2.       Prenez l'habitude de poser des questions. Plus vous comprenez les choses, plus tout est facile.  Il vaut mieux demander un collègue comment se servir du nouveau logiciel de votre entreprise que de batailler des heures. Accepter de ne pas savoir, et l'avouer permet d'éviter de nombreuses pensées négatives lorsque l'on n’arrive pas à faire quelque chose, lorsqu'on ne sait pas quelque chose. Soyez ouverts. Acceptez que vous ne savez pas tout, et que vous apprenez constamment. Tout le monde peut vous apprendre quelque chose.


3.       Ayez confiance dans les autres. Il est vrai que cela peut sembler risqué. Mais à moins que vous ayez de sérieuses raisons de douter de quelqu'un, faire confiance à une connaissance ou à un collègue de travail permet des relations plus harmonieuses.

4.       Pardonnez-vous. Vous avez certainement commis des erreurs, vous avez certainement échoué certaines choses. Mais vous devez lâcher prise pour éviter l'angoisse. Pardonnez-vous d'avoir commis des erreurs, cela arrive à tout le monde.


5.       Apprenez de vos expériences. Vous n'apprenez pas de la même façon aujourd'hui que quand vous étiez à l'école. À l'école, on apprend une leçon, puis on passe un examen, on fait un contrôle. Dans la vraie vie, on fait d'abord un examen avant d'apprendre la leçon. Si nous échouons dans cette épreuve, nous tirons une leçon de cet échec et nous évitons de commettre la même erreur deux fois.

6.       Dites adieu à vos problèmes.  A la fin de la journée, avant d'aller dormir vous n'avez pas besoin de garder vos mauvaises expériences de la journée, les moments négatifs, les soucis. 
      
    
    Laissez-les aller, jetez-les par la fenêtre, dites-leur au revoir (non, je ne plaisante pas ; c'est une façon intéressante et théâtrale de faire comprendre à votre cerveau qu'il faut lâcher prise)

mercredi 28 septembre 2011

7 idées pour penser positivement et être optimiste



1/ Souriez le plus souvent possible au plus de monde possible. Vous verrez cela augmente votre énergie et votre bonne humeur. Et cela ne coûte rien.

2/ Ne faites pas les choses au petit bonheur la chance. Si vous avez une liste claire de tout ce que vous devez faire, les pensées négatives de type « je suis débordé(e) » s'atténuent un peu. Parce que les choses sont claires et écrites noir sur blanc.

3/ Lancez-vous de nouveaux défis. Voyez les changements comme des opportunités. Si le fait de changer vos habitudes peut vous aider à vous améliorer, réjouissez-vous de le faire. Faites de nouvelles choses. Envisagez plusieurs options pour le même projet, rencontrez de nouvelles personnes, posez plein de questions. Grâce à cela, vos pensées sont dirigées vers la nouveauté, l'amélioration et les pensées négatives sont instantanément éradiquées.
  
4/ Accepter que vous ne pouvez pas tout avoir au même moment. Si vous vivez quelque chose de négatif, sachez que le positif viendra aussi. Il y a des hauts et des bas dans la vie. Nous vivons dans un monde où il y a pas mal d'opposés : le gain et la perte, le plaisir et la douleur, la lumière et obscurité, l'amour et la haine. C'est le cycle de la vie qui veut cela. Si vous vous sentez déprimé, que vous avez un moment de passage à vide, sachez que l'inverse se produira aussi. Il y aura un moment d'enthousiasme et de joie.

5/ Soyez réalistes. Fixez-vous des objectifs et faites ce qu'il faut pour les remplir. Mais calculez un délai de temps raisonnable pour concrétiser vos projets. Si vous ne faites pas de sport et que vous mangez déséquilibré, ne vous attendez pas à maigrir. On ne peut pas mincir sans rien faire !  Mais même si vous faites ce qu'il faut, ne croyez pas que vous allez parvenir à un résultat en une semaine !

6/ Faites attention à votre santé physique et mentale. Apprenez à vous connaître. Quand vous vous sentez épuisé(e), c'est le moment où vous devez arrêter. Ne forcez pas. Au fond, vous savez quand vous en faites trop. Connaissez vos passions. Passez plus de temps à faire ce que vous aimez. Si vous vous connaissez parfaitement, vous saurez la limite à ne pas dépasser physiquement, mentalement et émotionnellement.

7/ Souriez. Amusez-vous. Voir le côté positif de la vie commence avec le divertissement. Des fous rires fréquents peuvent vous aider à vous débarrasser de l'anxiété ou de la nervosité.

jeudi 15 septembre 2011

Comment augmenter son estime de soi



 Dans cet article, vous trouverez un conseil pour améliorer la confiance que vous avez en vous même et surtout l'estime que vous vous portez. C'est un conseil tout simple, qui pourrait presque sembler banal. Mais appliquez-le, et vous verrez que c'est bien plus profond que ça en a l’air.

Vous devez commencer par vous aimer vous-même. Oui, il y a beaucoup de choses chez vous que vous n'aimez pas. Et il y en a beaucoup que vous ne pouvez pas changer. Bien sûr, améliorez-vous là où vous pouvez. Si vous êtes timide et que vous avez du mal à aller vers les gens par exemple, vous êtes capable de devenir un petit peu (beaucoup) plus sûr de vous. Mais, même s'il y a des choses que vous êtes déterminés à changer, et pour lesquels vous ferez beaucoup d'efforts, il reste toujours des domaines où vous n’êtes pas comme vous aimeriez. Aimez-vous quand même. Tel que vous êtes. Regardez vous dans un miroir et dites- vous que vous n'êtes pas parfait, que vous n'êtes pas exactement comme vous aimeriez être, mais que vous êtes quelqu'un de bien. Si vous lisez ce blog, il y a fort à parier que vous voyez très bien là vous n'êtes pas bon, là où vous devriez être plus efficace, être différent. Vous ne vous acceptez pas tel que vous êtes car vous êtes trop critique envers vous-même. Vous êtes votre juge le plus sévère. Aimez-vous comme vous êtes, et je vous garantis que sur du long terme, vous serez en mesure de mener à bien vos projets. Ce n'est pas en se critiquant soi-même que l'on arrive à des résultats satisfaisants, c'est au contraire en étant bienveillant envers soi-même. 

En se disant de petites phrases comme : « tu vas y arriver », « tu as échoué, mais ce n'est pas grave », « allez, reprends-toi ». Soutenez-vous vous-même. Soyez votre meilleur ami. Aimez-vous. Avant d'attendre de l'amour d'autres personnes, donnez-en à vous même. Soyez fiers de ce que vous faites de bien. La fierté n'a rien à voir avec la prétention. On peut être content de soi sans se vanter.

Si vous avez tendance à trop vous critiquer, ou à vous dire « je suis nul », « je rate tout » etc…, voici un conseil tout simple : fermez les yeux et visualisez un bébé, ou encore un petit chaton ; en bref, quelque chose de craquant qui vous réchauffe le cœur, qui vous fasse éprouver de la compassion. Ressentez intensément ce sentiment, et ensuite retournez-le vers vous : donnez-vous de la bienveillance et de l’amour.

Faites vraiment cet exercice. Vous en retirerez de grands bénéfices et vous serez plus indulgent envers vos petites erreurs.

mardi 30 août 2011

Baignez-vous dans un lac froid et comprenez comment améliorer votre vie…

Pendant les vacances, je me suis baigné dans un lac dont l’eau était assez fraîche. Et ensuite, deux semaines plus tard, je suis allé à la piscine. Pourquoi je vous raconte ça ?
Bon, je vous provoque, là. Je vous promets dans le titre un article qui vous aide à améliorer votre vie, et je vous parle d’un lac et d’une piscine.  C’est à n’y rien comprendre, n’est-ce-pas ?
Alors, en fait, lisez bien l’anecdote qui suit, et ensuite, je vous expliquerai l’image.
Le lac était froid. Alors que la température extérieure était vraiment élevée. Je n’avais pas envie que l’entrée dans l’eau soit désagréable. Et j’avais du temps (vive les vacances). Alors, j’ai décidé d’y aller petit à petit. Vraiment lentement. J’ai mis les pieds dans l’eau, c’était agréable. Froid mais rafraichissant. Puis j’ai attendu. Puis j’ai mis les mollets dans l’eau.  Attente de quelques secondes. Les genous, attente d’une minute. Qu’est ce que j’attendais ? Que l’eau ne me paraisse plus froide, mais normale, ni froide, ni chaude.  J’y allais par pallier, petit à petit. Mais ce n’était pas désagréable, c’était reposant, et j’avais un paysage à admirer en plus… 
Arrivé à la taille, la plupart des gens se mouillent le cou, et se lancent. Mais moi, je voulais faire les choses lentement. Alors j’ai avancé encore un petit peu. Juste un peu. J’ai attendu, avancé etc… Jusqu’à arriver au cou. Et là, j’étais parfaitement bien, ni chaud, ni froid, vraiment bien. Et j’ai pu nager sans avoir besoin de période d’adaptation. 
Maintenant, voyons comment cela peut s’appliquer à votre vie. Si vous cherchez à améliorer votre vie, il vous faudra faire des efforts. Mais ça peut être désagréable. Imaginez quelqu’un qui se jette à l’eau : ce n’est pas agréable (si l’eau est froide), du moins pendant quelques minutes. Si vous faites cela, vous prenez le risque de ne pas rester dans l’eau, parce que la période d’adaptation (disons un mois) vous semblera trop longue. Je vais prendre un exemple tout simple. 

Vous décidez de faire une heure de sport par jour parce que ça vous apporte beaucoup. Si demain, vous vous dites : « tiens je vais faire une heure par jour », vous aurez du mal à vous y tenir. Vous le ferez un jour ou deux, et ensuite, vous en aurez assez et vous trouverez des prétextes pour arrêter. 
Par contre,  reprenons l’idée de s’immerger petit à petit dans l’eau, de façon à ce que ça ne soit jamais être désagréable. Vous décidez de faire 5 minutes de sport par jour pendant 1 semaine, puis 10 minutes pendant 1 semaine, puis 15 minutes pendant 1 semaine etc… En quelques mois, ce sera normal pour vous de faire 1 heure de sport par jour. Vous n’y penserez même pas et vous serez capable de faire ça toute votre vie. Et jamais, vous ne vous serez découragé, parce qu’à chaque fois, l’objectif visé était facile. La première semaine, faire 5 minutes était très simple pour vous. La semaine d’après, vous aviez déjà prévu un créneau horaire chaque jour, l’augmenter de 5 minutes était enfantin. Et ainsi de suite. Et tout s’est fait facilement. Je parle du sport ici, mais il est bien évident que tout le monde n’a pas les mêmes objectifs. 

Remplacez « une heure de sport » par une heure de ce que vous voulez faire, ce qui vous serait vraiment bénéfique dans votre vie.  Et faites-le. C’est très simple, il suffit d’y aller par pallier…Lancez-vous, mais pas d’un coup. Petit à petit.
Au fait, quelques temps après ma grande réflexion dans le lac, je suis allé à la piscine. Et là, l’eau m’a semblée très chaude. J’y suis rentré lentement aussi, mais cela a pris à peine une minute. Si vous faites quelque chose, ensuite, quand c’est plus facile, cela devient enfantin pour vous…mais vous gardez les bonnes habitudes acquises avant…

lundi 25 juillet 2011

Quelques idées pour vivre mieux.

Il est très difficile de faire de grands changements d'un seul coup, mais faire de petites transformations, est tout à fait abordable, et petit à petit les petits ruisseaux font de grandes rivières.
Vous ne pouvez pas tout faire d'un coup. Il serait trop difficile par exemple pour quelqu'un d'abandonner dans la même semaine la cigarette, l'excès de caféine, et en même temps de gérer son stress, de se sentir détendu et de cesser de s'inquiéter pour des détails. Si vous vous en demandez trop, vous n'y arriverez pas. Par contre, si vous faites des choses petit à petit, le changement devient plus facile. Donc soyez indulgents envers vous-même, acceptez l'idée que vous ne pourrez pas tout changer d'un coup. Vous devez être patient. 
Pour vous donner une image afin d’illustrer ce que je dis, imaginons que vous construisiez une maison. Si vous le voulez le matin en disant : « je vais construire une maison », il y a de fortes chances que vous vous sentiez débordé. 

Par contre si vous vous dites : « je vais poser une brique », puis « je vais poser une autre brique », puis une autre, puis encore une autre, cela sera beaucoup plus facile.
1/ Faites une liste des choses que vous aimeriez changer. Cela vous motivera d'avoir vos objectifs bien en vue. Vous serez plus au clair sur ce que vous voulez vraiment. C'est une liste de souhaits que vous vous établissez là, avec des objectifs réalisables. Ne soyez pas trop ambitieux, faites une liste qui vous semble possible. Et agissez, lentement mais sûrement.
2/ Quand vous vous sentez stressé, respirez profondément. Tout simplement. Il n'est pas besoin de faire des techniques très compliquées pour se sentir mieux. Des choses toutes simples peuvent suffire. 
3/ Faites une liste de tout ce que vous avez de positif. Cela peut sembler très banal, mais avoir conscience de tout ce que l'on a dans la vie permet de se sentir mieux. Parce qu'en voyant le côté positif de ce que vous avez, vous diminuez l'impact de vos pensées négatives, vous changez un petit peu votre façon de penser. Petit à petit, apprenez à voir le positif avant le négatif ! 
Par exemple, vous pouvez vous dire « Je me suis disputé avec mon meilleur ami depuis un moment, mais j’ai plein d’autres amis formidables ».  Et vous pouvez faire ça parce que vous savez que vous avez plein de choses positives dans votre vie, et vous en profitez au maximum. 

dimanche 17 juillet 2011

Êtes-vous trop stressé ? Questionnaire sur le stress...


Voici un questionnaire destiné à déterminer si vous êtes trop stressé.
  1. Avez-vous tendance à vous inquiéter souvent pour de nombreux petits problèmes
  2. Avez-vous des difficultés à vous concentrer ?
  3. Êtes-vous impulsifs et réagissez-vous au quart de tour ?
  4. Avez-vous mal au cou ou à la tête très souvent ?
  5. Vous sentez-vous souvent dépassé par les événements ?
  6. Est-ce que vous avez l'habitude de trop boire, de trop fumer, ou d'avoir une mauvaise alimentation ?
  7. Est-ce que vous avez du mal à vous satisfaire de petits plaisirs, comme simplement regarder votre enfant jouer, admirer un beau paysage, ou manger un plat en famille ?
  8. Avez-vous tendance à vous sentir débordé, angoissé ou triste pour un problème de peu d'importance ?
  9. Êtes-vous souvent fatigués et avez-vous des problèmes de sommeil ?
  10. Vous sentez-vous souvent coupables ?
  11. Les gens disent-ils que vous êtes très irritable ?
  12. Votre poids a-t-il augmenté ou diminué de façon importante
  13. Si vous avez répondu oui à 5 de ces questions ou plus, vous avez trop de stress dans votre vie.
    Vous trouverez divers conseils et astuces sur ce blog pour le gérer au mieux. Entre autres ici.

dimanche 10 juillet 2011

Sachez dire « non » et vous affirmer ! 3





Ceci est la suite de l’article (http://bienetre22.blogspot.com/2011/07/ne-pas-savoir-dire-non-2.html) 

Tout d'abord apprenez à dire vraiment le mot « non ». C'est un mot très important.
Dites-le aussi souvent que vous pouvez, juste pour entendre le mot sortir de votre bouche.
Dites le quand vous êtes tout seuls. Entraînez-vous à répéter des phrases comme « non, je ne peux pas faire ça » ou « non je ne veux pas aller là ».
Ensuite essayez pour des choses simples, et appliquez ensuite cela pour des situations plus difficiles.

Quand vous voulez dire non, prenez un temps de réflexion pour ne pas être tenté de dire oui.
Prenez toujours une pause avant de répondre à la demande de quelqu'un.
Vous pourriez répondre quelque chose comme « il faut que j'y réfléchisse, je vous tiens au courant » ou « je vérifie mon agenda et je vous rappelle ».
Utiliser ces phrases pour différer le moment où vous devez donner votre réponse.
Au début vous vous sentirez coupables mais ensuite cela sera plus facile.
Et surtout, acceptez le fait que ce dont vous avez besoin est important, que VOUS êtes important.

Par exemple, si votre belle mère vous invite à manger et que vous ne voulez pas, dites « Non, je ne peux pas venir manger chez vous, car j’ai besoin de prendre du temps pour moi ce week end, et de me reposer. »

Et dites-vous intérieurement : « J’ai le droit de faire ce que j’aime et ce dont j’ai besoin ».


vendredi 8 juillet 2011

Ne pas savoir dire « non » 2


Si vous vous reconnaissez dans l’article sur les gens qui ne savent pas dire « non »
(http://bienetre22.blogspot.com/2011/07/savez-vous-dire-non.html),
vous vous sentez obligé d'aider systématiquement les gens qui vous le demandent, et vous ne faites pas toujours les choses parce que vous avez envie de les faire.

Malheureusement, on vous a peut-être dit que votre valeur dépendait de ce que vous apportiez aux autres. Sachez que quand vous prenez un moment pour vous-même, vous n'avez pas à vous sentir égoïste ou coupable.
Parce que vous accomplissez trop pour les autres, vous êtes souvent les premiers à qui on demande un service. Vous êtes vulnérables à tous les profiteurs.

Dans beaucoup de cultures, les filles sont éduquées pour penser d'abord aux besoins des autres, et pour négliger les leurs. Il n'y a pas que les femmes qui sont dans cette situation ; j'ai été pendant des années quelqu'un qui ne sait pas refuser un service, qui veut faire plaisir, et je ne comprenais pas pourquoi on me demandait constamment d'être présent pour les autres, alors que quand j'avais un problème, il n'y avait plus personne.
Ne plus être trop gentil ne signifie pas être méchant. Cela signifie simplement faire les choses quand on a envie de les faire. Et savoir refuser quand cela nous dérange. Je sais rendre service quand je le souhaite, mais je sais aussi demander lorsque j’ai besoin de quelque chose.
On peut très bien demander un service tout en étant correct, et sans donner le moins du monde l’impression de profiter.


L'autre jour, suite à une panne de voiture, j'ai emprunté celle d’une amie, et pour la remercier je lui ai rendue en meilleur état que quand elle me l'avait passée ; j'ai tout nettoyé.
J'ai toujours été comme ça. Mon amie, ravie de mon initiative m'a dit en rigolant : « tiens, tu voudrais pas que je te prête aussi mon appartement, mon bureau et aussi la vaisselle que j'ai dans l'évier ? Comme ça tu me nettoierais tout. ».
J'ai lavé sa voiture, mais cela m'a fait plaisir (et le jour où j’aurai besoin d'un service, je pourrai encore une fois compter sur elle). Enfin bon, là, je parle du fait d’accepter qu’on nous rende service, parce que souvent, quand on ne sait pas refuser, on a aussi du mal à demander…car on ne veut pas déranger.


Si vous avez tendance à être trop gentils quand on vous demande quelque chose, vous vous sentez souvent vides, vous ne savez pas ce que vous ressentez, ce que vous pensez, et ce que vous voulez vraiment. Mais il est possible de changer ce cycle et de vous sentir mieux.


Dans l'article suivant, je vous donne quelques idées pour apprendre à dire « non »....http://bienetre22.blogspot.com/2011/07/sachez-dire-non-et-vous-affirmer-3.html

mercredi 6 juillet 2011

Savez-vous dire « non » ?


Un des grands problèmes des gens stressés est qu'ils ont du mal à dire « non » quand ils en ont besoin.


Il n'y a aucune raison pour laquelle vous devriez dire « oui » à tout le monde, que ce soit prêter un habit à un ou une amie, ou encore aller manger chez votre belle-mère.

En fait, si vous vous surprenez à accepter de rendre des services que vous ne voulez pas rendre, ou de faire constamment des choses dont vous n’avez pas envie, vous êtes trop gentils.

C'est un grand facteur de stress. Les gens trop gentils pensent que les besoins des autres passent avant les leurs.
Ils s'inquiètent de ce que les autres veulent, pensent, de ce dont ils ont besoin.
Ils passent trop de temps à faire les choses pour les autres, font rarement ce qui leur fait plaisir et se sentent coupables quand ils le font.


Si vous êtes dans ce cas, vous passez beaucoup de temps avec des gens qui ne prennent pas en compte ce dont vous avez besoin.
En fait, c'est important pour vous que les gens malheureux se sentent mieux, mais au détriment de vous-même.


Essayer constamment de plaire aux autres est épuisant. Vous pouvez dans ce cas vous sentir anxieux, inquiets, malheureux et surtout très fatigués.


Peut-être que vous ne comprenez pas pourquoi personne ne fait rien pour vous, alors qu'ils en font tant pour d'autres.


Mais souvent, vous ne demandez pas aux autres ce dont vous avez besoin. Vous pouvez penser que si vous demandez à quelqu'un de l'aide et que la personne accepte, elle l'a fait par obligation, pas parce qu'elle le voulait vraiment.


Cela vous culpabilise, car vous ne voulez pas déranger. Vous vous dites que si elle avait vraiment voulu vous aider, elle vous aurait offert son aide sans que vous ayez eu besoin de le demander.


La suite ici : http://bienetre22.blogspot.com/2011/07/ne-pas-savoir-dire-non-2.html