mercredi 29 juin 2011

Comment exprimer vos sentiments sans vexer !

Connaissez-vous la façon la plus efficace de faire part de vos sentiments, sans que la personne ne se sente attaquée ? Il faut faire une phrase en quatre temps…Cela prend du temps d’avoir le réflexe, mais cela évite d’être débordé par ses émotions et de blesser l’autre.

1/ « Quand tu » : Restez objectif à ce moment là !

Exemple (pour une femme dont le mari ne l’aide pas dans le ménage puisque nous avons beaucoup vu cet exemple dans les autres articles) : Quand tu regardes la télé, alors que je fais le ménage et que tu me dis « attends, j’arrive, je me repose juste un peu » et que tu ne viens pas.
SURTOUT ne pas dire « quand tu ne fais jamais le ménage ». c’est dévalorisant, et en plus il répondra… « c’est pas vrai, la semaine dernière, j’ai balayé la cuisine une fois ».

2/ « je me sens »

Vous devez identifier vos sentiments, et être précis(e).
Suite de l’exemple : « je me sens débordée et seule .»

3/ « ce dont j’ai besoin, c’est »

Suite de l’exemple : « Ce dont j’ai besoin, c’est de me sentir soutenue, et d’être libérée d’une partie des tâches ménagères »

4/ demande concrète « est ce que tu serais d’accord »

« Est ce que tu serais d’accord pour que l’on fasse le ménage ensemble le samedi après midi de 14h à 17h »

Cette façon de communiquer fonctionne beaucoup plus souvent que ce que vous croyez ! Vous avez des besoins (ici le besoin d’aide) et il faut le reconnaître ! Et accepter que ce dont vous avez besoin est important ! Et quand vous exprimez ce qui est important pour vous, vous évitez de faire passer ce que vous voulez au second plan…donc de vous énerver le jour où vous n’en pouvez plus.

samedi 25 juin 2011

9 façons de désamorcer votre colère et votre rage...



Imaginons que quelque chose vous ait beaucoup énervé. Vous n’en pouvez plus, et même des heures  après, vous ressassez tout cela constamment.

Voici quelques idées à faire après coup pour éviter d’y penser tout le temps:

1/ Identifier les causes exactes de votre colère pour éviter de la déplacer sur d’autres personnes….si votre chef vous met en colère, ne vous énervez pas contre vos enfants, s’ils n’ont quasiment rien fait !

2/ Faites régulièrement de la relaxation (si vous ne l’avez pas encore, rendez-vous ici pour un audio gratuit : http://bienetre22.blogspot.com/2011/05/recevez-ma-newsletter-dinformation.html)

3/ Ne revivez pas la scène plusieurs fois. Ne vous rappelez pas sans cesse ce qui s’est passé exactement. Sinon, vous intensifiez l’émotion et vous vous sentez encore plus mal.

4/ N’exagérez pas les choses ! A force, vous finissez par y croire !

5/ Exprimez ce que vous ressentez exactement avec les mots les plus précis possible (peur, tristesse etc)

6/ Cherchez une solution. Réfléchissez non pas au problème, mais à la solution.

7/ Imaginez la réponse que vous aurez la prochaine fois. Entraînez-vous à parler calmement en parlant lentement. Il faut que vous réfléchissiez avant de parler !

8/ Utilisez l’humour et la dérision pour désamorcer la colère.

9/ Dès que vous voulez parler à la personne qui vous a mise en colère, assurez-vous que le moment est propice pour aborder le sujet.

Connaissez-vous la façon la plus efficace de faire part de vos sentiments, sans que la personne ne se sente attaquée ? La réponse ici: 
http://bienetre22.blogspot.com/2011/06/comment-exprimer-vos-sentiments-sans.html

vendredi 24 juin 2011

Si vous êtes en colère, comprenez-vous d’abord.

Il y a une pratique que je trouve efficace : la pratique d’un monologue (oui, vous avez bien lu ; parlez tout(e) seul(e) et analysez ce que vous ressentez).

Ecrivez les pensées qui vous viennent à l’esprit. Voici une liste du genre de pensées que vous avez souvent. Faites votre propre liste…vous verrez, ce sont la plupart du temps les mêmes qui reviennent régulièrement.
(attention, c’est une liste de pensées qui selon moi sont « fausses »…il faut juste les identifier, pas y croire !). 

Voici deux exemples de pensées qui reviennent tout le temps.
 « La seule façon de faire vraiment changer quelqu’un, ou qu’il comprenne ce que je veux est de se mettre en colère contre lui »
« Si je ne me fâche pas, ils vont penser que je suis faible ou ils vont profiter de ma faiblesse).
Faites votre propre liste ! Et « classez » chaque pensée. Dites-vous « tiens, je la connais cette pensée là ! ». Vous verrez, cela change tout. Vous rentrez en sympathie avec vous-même, vous vous comprenez….et c’est très important pour acquérir une bonne maîtrise de soi.

Voulez-vous quelques conseils pour acquérir une bonne maîtrise de vous-même quand vous ressentez de la colère…comment faire pour ne pas y penser tout le temps ? La réponse ici: http://bienetre22.blogspot.com/2011/06/9-facons-de-desamorcer-votre-colere-et.html

mercredi 22 juin 2011

Recherche de zénitude-Acte 4...


Je vous transmets la suite du témoignage de Véronik...

Il faut que je vous parle aussi d’une autre « expérience » que je mène en même temps que nous expérimentons l’audio « anti-douleur» avec Antoine.

J’ai rencontré une élève du Dr Penoel (Médecin et depuis 35 ans, grand précurseur, initiateur, expérimentateur, observateur et interprète de l’aromathérapie quantique : http://www.ecolepenoel.com/fr/)
Qu’est-ce que c’est encore cela, me direz-vous ? C’est tout simplement la connaissance des huiles essentielles mais aussi la compréhension de l’action des huiles sur l’individu, mais L'Aromathérapie Quantique® propose de penser différemment et d'agir différemment.
Pour les aromathérapeutes, l'objectif primordial des odeurs, est de se sentir bien. Pour ces thérapeutes, les huiles essentielles ont la propriété, chacune avec ses particularités propres, d'apaiser, de soigner, de rétablir et de guérir les individus.
Avec l’aromathérapie quantique, le thérapeute prend, dans sa globalité, l’individu, (ses antécédents, ses ressentis, ses émotions, ses traits de caractères, son état physique mais aussi son psychisme, son quotidien). L'aromathérapie quantique parle de résonance et de mise en relation de 2 atomes, et pour imager, de réaction comme 2 aimants qui s'attirent mais qui,  même s'ils sont éloignés, vont réagir de la même façon. Cela parle aussi de yin et yang, et d'équilibre.
Voilà, un peu ce qu’est l’aromathérapie quantique…A vous de regarder, chercher pour mieux comprendre et pourquoi pas connaitre l’aromathérapie quantique si cela vous interroge et/ou vous intéresse…
Pour ma part, cela sera une découverte formidable. Je pris donc rendez-vous avec l’aromathérapeute que j’appellerai Dominique. Le jour où nous nous sommes vues, c’est le jour où Antoine m’envoya dans la soirée, le premier « audio de Véronik ». Coïncidence ?
Pas si sûr, finalement. Rappelez-vous : L’équilibre, le Yin et le Yang, 2 aimants même éloignés vont réagir de la même façon, une mise en résonnance….
Avec un peu de recul, je ne dirai pas que cela est une coïncidence. Dominique est une femme, Antoine est un homme, chacun, de leur côté, va m’apporter une aide dans ma quête de mieux-être, dans ma recherche de soulagement de ma souffrance. L’un va œuvrer pour sensibiliser mon esprit avec des mots simples et choisis afin de soulager mon corps et l'autre va œuvrer pour soulager mon corps avec les huiles essentielles et leurs propriétés et leurs odeurs et sensibiliser mon esprit.
Antoine et Dominique ne se connaissent pas, géographiquement ils sont très éloignés et pourtant je vais être le lien entre eux deux et malgré moi ou plutôt grâce à mes rencontres, avec Antoine par écrit et avec Dominique en visu, sans préméditation aucune, ma vie avec ma maladie va les émouvoir au point que chacun d’eux va s’investir complètement pour me venir en aide.
Consciencieusement, je vais écouter régulièrement  l’audio d’Antoine mais aussi suivre le traitement aux huiles essentielles de Dominique.
3 jours plus tard, j'avais carrément moins de douleur par contre, j’étais « ramollo ». J’étais contente car j'avais travaillé sans être obligée de faire d'efforts pour me concentrer. Ma journée de travail avait été plutôt facile et cela faisait des lustres que ça ne m’était pas arrivé !
Je me posai la question de savoir à quoi devais-je ce changement, à l’audio d’Antoine ou aux huiles essentielles de Dominique. Peut-être que je n'aurai jamais la réponse...
Peut-être aussi que les 2 associés m'ont été bénéfiques !

Fin de l’Acte 4                                                                                    A bientôt pour lire « Recherche de zénitude » Acte 5

lundi 20 juin 2011

Etre en colère, ça défoule ?

Il paraît que se mettre en colère, ça soulage. Votre compagnon ne vous aide pas du tout dans les tâches ménagères et vous en avez assez….il faut vous libérer de ça ? Voici mon avis…Il est vrai qu’on a souvent dit que quand on est en colère, la laisser exploser soulage. Beaucoup de gens diraient qu’il faut se libérer en disant ses « quatre vérités » à son compagnon dans le cas qui nous intéresse. D’autres croient que frapper un oreiller peut vous défouler et vous libérer de la colère. En réalité, je pense que cela augmente votre rage, et les fois suivantes, votre colère est démultipliée. Alors que faire ?

Je pense que la première étape, c’est de reconnaître sa colère. Dans notre illustration, la femme dont nous parlons doit se dire à elle même: « Je suis en colère parce que mon mari a regardé la télé toute l’après midi alors que moi j’ai fait tout le ménage et le repassage ». Admettre et accepter ce que l’on ressent est vraiment la clé de la gestion des émotions. Pourquoi ?
En fait, mettre des mots sur votre colère aide à diminuer l’intensité de vos sentiments. Que se passe-t-il lorsque nous ne parvenons pas à reconnaître notre colère ? Nous prenons le risque de la garder en soi jusqu’à ce qu’elle déborde ou qu’elle commence à nous détruire psychologiquement. Sachez que les sentiments qui sont enterrés vivants ne meurent pas !

Voici des phrases que vous devez garder à l’esprit.

 « J’ai été injustement traité. Se sentir en colère est normal, mais contrôler ma colère est dans mon intérêt. »

« Si je réponds à ma colère de façon irrationnelle ou agressive, que je m’énerve, cela ne sert à rien, et cela pourrait créer plus de problèmes pour moi ou pour les autres »

« Lorsque je choisis d’ignorer la colère que je ressens, je prends le risque d’exploser un jour ce qui blessera beaucoup les autres le moment venu »

« C’est à moi de choisir la façon dont j’exprime ma colère ; j’en suis le seul (la seule) responsable».

Je pense qu’il faut éviter d’ « exploser ». Par contre, pour canaliser votre énergie, vous pouvez tout à fait faire du sport (et y mettre beaucoup d’énergie ! ). Je crois que ce qu’il ne faut pas penser à la colère en terme de destruction (ne cassez pas d’assiette !!!). Par contre, considérer la colère comme une énergie, et être plus dynamique dans un sport « grâce » à elle, c’est tout à fait intéressant.


Pour lire les autres articles sur la colère, rendez-vous ici: 




http://bienetre22.blogspot.com/2011/06/colere_24.html












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vendredi 17 juin 2011

Recherche de zénitude...Acte 3...suite du témoignage de Véronik



Voici la suite du témoignage de Véronique.

Suite de mon témoignage…

Lundi 30 mai, c’était le grand jour !

Je m’installais confortablement dans mon fauteuil  ergonomique puis déclenchais l’audio pour l’écouter. La voix d’Antoine commençait à me devenir familière. Antoine me donna des instructions pour l’écoute de l’audio. Je me sentais détendue dans ma tête mais mon corps me faisait mal. Mes articulations et mes muscles suscitaient la souffrance. L’asthénie ne me quittait pas.  C’était le bon moment pour essayer de trouver un peu de relaxation et pourquoi pas un peu de soulagement.

Petit à petit, mon esprit n’écoutait plus que la voix d’Antoine, des images agréables emplissaient ma tête mais mon corps était lourd. L’audio était terminé, je rouvris les yeux. J’eus un peu de mal à bouger les mains, elles avaient comme on le dit « des fourmis ». Je bougeais les jambes mais ma jambe droite était complètement anesthésiée, comprimée comme happée par je ne sais quoi…

La sensation était  très désagréable voire stressante mais pas vraiment douloureuse.

Durant les 15 à 20 minutes suivantes, les effets ressentis, s’estompèrent. Là, je réalisais que je n’avais pas fini la séance avec une recrudescence de douleurs comme les fois précédentes. Je fus un peu surprise mais ravie.

Le soir même, j’écrivis à Antoine pour lui dire comment s’était passée la séance. Je lui dis aussi : « Je ne sais pas si cela fera quelque chose sur mes douleurs mais je pense l'écouter souvent car je me suis sentie moins mal qu'avec le premier audio. Étonnant, non ? Je pense que j'alternerai sûrement les 2 audios.
Par ailleurs, je suis très émue par ce cadeau, Antoine, et je vous suis infiniment reconnaissante de l'avoir fait pour moi. Merci du fond du coeur. »

Un peu plus tard, Antoine me répondit et m’écrivit : « Je ne veux pas trop m'engager mais la sensation que vous avez eu à la fin peut vouloir dire que votre corps "élimine" du négatif, petit à petit, très progressivement, imperceptiblement. Il faut voir sur quelques mois ce que cela donne. Du moment que cela n'a pas empiré vos douleurs (que le ressenti que vous avez eu à cause de l'audio était acceptable, pas vraiment douloureux), c'est ce qui importe.
Je crois vraiment que la relaxation guidée a des effets extrêmement positifs sur le long terme. Donc tant que ce n'est pas douloureux, c'est forcément bénéfique. »

Puis nous échangeâmes sur les ressentis durant l’audio.
Les images proposées par Antoine m’étaient faciles à imaginer ?
Y a-t-il des moments dans l'audio que je n’aimais pas ?
Est-ce que c'est facile pour moi d'imaginer le moment où je
…(confidentiel) ?

Le lendemain, Antoine m’envoya un autre mail et me dit : « Suite au dernier mail d'hier, je veux vous dire que j'ai décidé d'aller jusqu'au bout dans la recherche d'une alternative à la sophrologie. La première idée est bonne, mais je suis sûr que l'on peut largement l'améliorer. Pour cela, j'aurais besoin de votre aide pour que vous me disiez avec sincérité ce que vous appréciez et ce que vous n'aimez pas, au fur et à mesure que j'améliore l'audio. De mon côté, j'essaie cet audio pour de toutes petites douleurs de dos me concernant ainsi que sur quelques personnes de mon entourage, afin de pouvoir faire des tests et de déterminer ce qu'il faut changer. Je vais chercher à améliorer du mieux que je peux jusqu'à ce qu'il vous convienne parfaitement ».

Je lui répondis simplement : « Je suis tenace mais je vois que vous l'êtes aussi. Merci pour votre ténacité Antoine ».

Fin de l’Acte 3; A bientôt pour lire « Recherche de zénitude » Acte 4
Véronik

mercredi 15 juin 2011

Comment ne jamais vous mettre en colère !

Que faire quand l’on sent que l’on « s’emballe », que la colère nous ronge ?

Il suffit souvent de différer votre réaction de 10 à 20 secondes. " D’accord, je veux bien m’énerver, mais pas tout de suite." Vous pouvez prendre plusieurs respirations profondes (reportez-vous au sujet : « la respiration anti-stress »). Cherchez à ralentir. 

Vous devez répondre au lieu de réagir. Vous connaissez la différence entre répondre et réagir?

Alors voilà, réagir, c’est instinctif. Répondre, c’est quelque chose de réfléchi. 

Réagir, c’est différent. Vous appuyez sur le bouton de votre aspirateur, et une réaction s’enclenche. C’est systématique, ça ne change jamais, c’est prévisible (sauf en cas de panne de l’appareil !). Eh bien, réagir c’est quand quelqu’un fait quelque chose et que l’on peut savoir à l’avance la façon dont vous allez (ré)agir. Ce sera toujours pareil. 

On vous insulte, vous hurlez. C’est une réaction humaine, normale de s’énerver, d’être en colère. Par contre, je vous demande de ne pas avoir une réaction normale. Je ne plaisante qu’à moitié.

Vous verrez des changements dans votre vie si vous y parvenez. Si on vous fait des reproches, ne le prenez pas pour vous. 

Mettez vous à la place de la personne. Avez-vous remarqué que les gens les plus agressifs sont les plus malheureux ? 

Dites-vous qu’elle doit se sentir très mal pour vous parler comme cela. Je ne vous dis pas de vous laisser faire, d’être passif, d’être résigné, de ne pas vous défendre. Surtout pas. Non, ce que je vous demande, c’est de comprendre pourquoi les gens peuvent être méchants. Et de ne pas leur en vouloir. D’agir pour vous défendre, mais de le faire presque avec compassion.


Oui, c'est ça, "aimez vos ennemis" (pas besoin de tout le temps chercher des idées novatrices dans les livres récents de développement personnel...une simple idée comme cela contient beaucoup plus que ce que l'on croit au premier abord). Cela semble très étrange comme ça, mais en fait c'est extrêmement subtil.

 Demandez-vous : «Pourquoi agit-il ainsi ? ». Changez de point de vue. Comprenez. Et après, défendez-vous. Faites ce qu’il faut. Mais calmement. 

La colère fait perdre trop d’énergie nerveuse. Elle accentue le stress. Elle détruit plus qu'elle ne construit.


Elle est du "côté obscur de la force" (j'ai besoin de dire d'où vient cette citation ? lol). Je crois que comprendre les réactions des autres, c’est la meilleure solution, dans une certaine limite. Ne pas se laisser faire, c’est important, mais la colère fait se sentir très mal, je crois qu’il faut la canaliser, la transformer.

Oui, mais me répondrez-vous (ou pas ?), se mettre en colère, ça soulage. Allez, prenons une situation concrète.

Imaginons que (si votre compagnon ne vous aide pas du tout dans les tâches ménagères et que vous en avez assez….il faut vous libérer de ça ? Et vous avez tendance à ne rien dire et puis un jour à exploser parce que ça fait du bien de dire ce que l’on a sur le cœur…Je vous dis ce que j’en pense dans un prochain article.

La suite ici: http://bienetre22.blogspot.com/2011/06/en-colere-colerique-grosse-colere-se.html


Un audio de relaxation gratuit si vous vous inscrivez gratuitement à la newsletter (ainsi qu'un cadeau par mois): http://bienetre22.blogspot.com/2011/05/recevez-ma-newsletter-dinformation.html

lundi 13 juin 2011

Comprendre la colère et la gérer au mieux !

Etes-vous capable de savoir exactement ce que cache la colère ? 
En fait, c’est une émotion secondaire. Autrement dit, c’est une émotion qui est provoquée par d’autres émotions (que l’on appelle primaire). Ça vous dit quelque chose « primaire » et « secondaire » ? Vous avez déjà fait de la peinture ? Il existe trois couleurs primaires bleu, vert, et rouge. A partir de celles-ci, on peut reconstituer toutes les autres couleurs. Seulement trois couleurs pour créer toute une infinité de coloris divers et variés.


Eh bien, pour les émotions, c’est pareil. Il existe une petite palette d’émotions et à partir de celles-ci on forme toutes les autres. Donc je disais, la colère est une émotion secondaire. Elle est un mélange entre la souffrance, et la peur. 


Donc si vous ressentez de la colère dans une situation,  quelle en est la raison ? C’est parce que vous vous sentez blessé(e), mais aussi que vous ne vous sentez pas en situation de pouvoir (parce qu’il y a une part de peur).  


Imaginons que quelqu’un passe devant vous à la boulangerie ?  Si vous ressentez de la colère, il y a deux raisons pour ça. Vous vous sentez méprisé(e), peu important(e) car vous pensez que la personne l’a fait exprès. Mais aussi vous avez l’impression que dire poliment que vous étiez arrivé avant n’aura pas d’incidence, que l’on ne vous prendra pas au sérieux… La seule solution que vous avez trouvé est de montrer une certaine agressivité. Soyons clairs, je ne considère pas que cette situation est un problème, il s’agit juste d’une façon de comprendre ce que je veux dire. Et après vous appliquerez les solutions dans d’autres situations. Que devez-vous faire pour résoudre le « problème » dans la boulangerie?. 


Eh bien, changez vos pensées. Si dans le même exemple, vous pensez que la personne ne l’a pas fait exprès et était distraite, que se passe-t-il ? La « souffrance » (très relative, c’est juste un exemple) disparait totalement. Si vous pensez qu’en disant un simple « Excusez-moi, mais c’est à mon tour » suffit largement, vous n’avez plus peur. 


Dans les deux cas, vous n’êtes plus en colère car vous avez travaillé sur la souffrance et vous avez travaillé sur la peur, et vous avez désamorcé la colère.


Vous voyez comment il faut faire pour que la colère perde sa force et son intensité ? Décortiquez votre émotion…Identifiez ce que vous ressentez et vous parviendrez à gérer vos émotions. 


Mais que faire quand l’on sent que l’on « s’emballe », que la colère nous ronge et que la technique précédente ne fonctionne pas?




La réponse ici: http://bienetre22.blogspot.com/2011/06/controler-colere-garder-calme.html

N'hésitez pas à laisser un commentaire !

dimanche 12 juin 2011

Qu'est-ce-que la colère...comprenez-la et gérez-la !

Savez vous ce qui est le plus important pour établir de bonnes relations autant au travail qu’à la maison ? En fait, ce qui est vraiment nécessaire, c'est de bien gérer ses émotions.


Quelle façon choisissez-vous pour répondre à la colère ? Elle sera déterminante dans la qualité de vos relations, votre santé, votre bien être, voire votre carrière. 


Cela dit, nous croyons souvent que gérer ses émotions signifie les refouler, les contrôler, les refuser. Ce n’est pas aussi simple.


Nous ressentons de la colère quand nous avons été blessés, vexés. Quand nous nous souvenons d'un événement et que nous ressentons de la colère, quelle en est la raison ? En général, c'est que nous avons négligé de dire à la personne en question qu'elle nous a blessés. Nous avons tendance à ne pas montrer notre colère ou notre douleur parce que nous ne voulons pas rentrer en conflit avec les autres ou même admettre tous ces sentiments.
Mais si nous continuons à refouler ses sentiments pour protéger notre ego, nous devenons moins connectés aux autres dans notre vie.
Protéger une autre personne de notre douleur (suite à une réflexion, ou à une action de cette personne) ou de notre colère, ne sert qu'à nous rendre encore plus mal.
Vous est-il déjà arrivé d'être en colère contre quelqu'un et d'être incapable d'expliquer pourquoi vous étiez en colère ?

Voulez-vous comprendre ce qu’est la colère et pourquoi vous vous mettez en colère ?
La colère est une réaction naturelle lorsque l’on se sent en danger. Ce peut être pour une raison réelle, si notre vie est menacée . Ou encore (et surtout, car c’est le plus fréquent en fin de compte) d’un point de vue psychologique.


Prenons un exemple. Vous croyez que vous avez été traité injustement par exemple. Quelqu’un vous fait des reproches que vous ne méritez pas ? Ou encore vous êtes frustré parce qu’un besoin ou un objectif n’a pas été satisfait ?  Un ami vous demande de faire quelque chose pour l’aider alors que vous aviez vraiment envie de prendre du temps pour vous reposer ?


Dans ce cas, votre esprit et votre corps se préparent à l’action. C’est cette réaction émotionnelle et physiologique que nous connaissons sous le nom de colère. La colère a une utilité en réalité ! Elle peut nous aider à nous protéger.


Si nous sommes en mesure d’exprimer notre colère quand quelqu’un cherche à profiter de nous, cela est utile pour dire « non » !


Mais que se passe-t-il si nous perdons le contrôle de nous-mêmes ? Eh bien, nous pouvons nous brouiller avec des gens parce que nous disons des choses que nous ne pensons pas sur le coup de la colère. Tout est une question de mesure...il faut être capable de ne pas se « laisser faire », mais sans être agressif ou méchant. Ou encore pire, si nous sommes incapable de dire « non » quand quelqu’un nous demande un service qui est contraire à nos intérêt, nous nous laissons ronger par la colère…


et un jour, cela déborde : c’est « la goutte d’eau qui fait déborder le vase ». Etes-vous capable de savoir exactement ce que cache la colère ? 

mercredi 8 juin 2011

Recherche de zénitude acte 2...petite histoire de la conception de l'audio anti douleur de Véronik...son témoignage !

Je copie le témoignage que Véronik m'a envoyé par mail.


Suite de mon témoignage…

Antoine me confia qu’il n’avait jamais fait d’audio pour soulager la souffrance,  et  je le cite : je suis davantage habitué à la sophrologie/relaxation/méditation destiné à améliorer l'humeur et à canaliser les pensées. J'ai eu quelques idées aujourd'hui d'application.  J'ai commencé à y réfléchir et si je parviens à créer quelque chose de correct, qui aide un tant soit peu, vous serez la première à l'écouter et à me dire ce qu'il faut améliorer  (je ne vous promets rien pour les résultats). Cela ne sera pas utile que pour vous bien évidemment, au départ j’ai été touché par votre situation et comme vous le dites vous-même, Véronik,  il y a beaucoup de gens qui souffrent. Je travaille donc aussi sur mon projet : à savoir créer des audios pour améliorer la vie de chacun.

Et hop, je prends du grade, j’allais servir de  « testeuse » pour les audios d’Antoine. Essayer de lui dire mes ressentis ou mes difficultés à me laisser guider par sa voix ou à imaginer les situations qu’il proposait. Lui faire part de mes sentiments de bien-être (peut-être) ou de douleurs.

Un peu plus tard, je reçu un mail avec en objet « Surprise ». Antoine m’annonçait qu’il avait travaillé sur « mon audio » (c’est comme cela que nous l’appelons pour le moment) et m’écrit encore : « Il me manque un rien pour l'améliorer avant de vous l'envoyer...A très bientôt dans la soirée. »

Je fus très contente de son message et  impatiente aussi !

2 heures plus tard, un nouveau mail d’Antoine : « Voilà… j’ai terminé l’audio.
Je me suis permis de me mettre  dans votre peau pour créer quelque chose de novateur.

Cela n’a absolument rien à voir avec la sophrologie traditionnelle.
Je l’ai fait de bon cœur, et j’ai mis le meilleur de moi-même.
En espèrent que cet audio soit à votre goût; je suis dans l’attente de votre réaction pour savoir si je peux dormir d’une façon satisfaite et heureux d’avoir créé quelque chose d’utile. »

N’ayant aucun retour de ma part, Antoine, s’enquît de savoir si j’avais bien reçu « mon audio ».
Je rentrais un peu tard ce soir-là, mais je renvoyais un mail pour remercier Antoine. J’avais bien reçu « mon audio » et je l’informais que je l’écouterai dans le week-end, que je lui  dirai ce qu'il en est et comment  j'avais vécu ce moment. « Je vous suis extrêmement reconnaissante pour cet audio et à demain pour mes impressions... », lui déclarai-je.

En fait, je n'ai pas pu écouter l'audio le samedi, j'ai eu des visites.
Puis dimanche, j'aurai pu l'écouter en fin de matinée mais je n'étais pas très sure de vouloir le faire en ne sachant pas ce qui m'attendait.

J'ai eu peur de me retrouver dans un état dont je n'avais pas idée de comment je serai après avoir écouté l'audio. C’était le dimanche de la fête des mères et nous étions en famille ce jour-là et je n’étais pas très en forme..
J’appréhendais, c’est sûr ! Qu’allais-je entendre ? Comment vivrai-je ce moment ? Est-ce que je finirai la séance en étant plus mal ? Je ne vous cache pas que j’étais un peu inquiète…

Lundi 30 mai, c’était le grand jour !

Fin de l’Acte  2  A bientôt pour lire « Recherche de zénitude» Acte 3

lundi 6 juin 2011

Le feng shui...l'harmonie et l'équilibre au quotidien dans la maison

Voici un audio explicatif qui vous donne des conseils pour organiser votre intérieur de façon à ce qu'il soit harmonieux.


Un audio de relaxation gratuit si vous vous inscrivez à la newsletter (ainsi qu'un cadeau par mois): http://bienetre22.blogspot.com/2011/05/recevez-ma-newsletter-dinformation.html

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