dimanche 30 octobre 2011

Pratiquez l’auto-hypnose ! Mode d’emploi (partie 1)




Première étape : se relaxer

La première étape dans l'induction hypnotique est de ralentir jusqu’à ce que vous vous sentiez relaxé. Votre corps se relaxe et ensuite votre esprit suit. La relaxation, celle qui est vraiment profonde et bénéfique, est une capacité que la plupart des gens ont perdue ou n’ont jamais développée. 

Certains y parviennent facilement cependant. Ils laissent juste aller leur tension et chaque partie de leur corps. Selon votre expérience et notre niveau de stress, cette phase peut durer de 30 secondes à une demi-heure. Au fur et à mesure, vous réduirez le temps. Mais pour l'instant ne soyez pas pressés. La méthode la plus connue de relaxation consiste à tendre chaque partie de votre corps une par une pendant quelques secondes, puis à relâcher.

Une fois que la phase de relaxation a été achevée, vous pouvez approfondir votre état de détente. N'attendez rien et laissez-vous aller.
Rentrer dans un état d'hypnose est d'une certaine façon similaire à tomber dans le sommeil. Si vous essayez à tout prix de dormir, c'est là que le sommeil est le plus difficile à obtenir. C'est la même chose pour l'état d'hypnose : vous ne vous rendrez pas compte que vous êtes dans cet état. Plus tard, après des mois de pratique régulière, vous serez davantage conscients.

En tout cas pendant l'état d'hypnose, vous ne perdez pas conscience. Vous êtes capables de réagir sur le champ si un événement imprévu arrive. Et vous gardez le contrôle. Vous pouvez arrêter quand vous le voulez. Il n’y a aucun danger.
Être capable d'entrer dans un état d'hypnose peut prendre d'une semaine à plusieurs mois. Mais même si vous n'arrivez pas vous rester détendu, la séance vous est quand même bénéfique.

Deuxième étape : approfondir la détente…
la technique du comptage

La façon la plus connue d'approfondir une relaxation est la technique du comptage. C'est aussi la préférée d'Hollywood. Vous ne voyez quasiment que celle-là dans les films où on parle d’hypnose !

Vous devez simplement commencer par dire « 20 » dans votre tête. Puis « 19 ». Puis « 18 »
Imaginez que vous rentrez plus profondément en vous même à chaque chiffre. D'autres pensées interféreront probablement pendant que vous comptez. C'est normal…mettez-les simplement de côté et continuez à compter.

Vous devez compter ni trop lentement ni trop rapidement. L'idéal est de compter un chiffre toutes les deux secondes. Mais, faites ce qui vous semble le plus approprié pour vous détendre.

vendredi 21 octobre 2011

Vous n’écouterez plus jamais des reproches de la même façon…

Je continue de raconter une petite histoire qui m’est arrivée avant d’en arriver au but… Donc continuons…

A la suite du sujet de ce forum dont j'ai parlé ici (http://bienetre22.blogspot.com/2011/10/ton-blog-est-pourri.html), une membre du forum m'a fait une réflexion très intéressante. Elle m'a parlé d'un livre nommé « les quatre accords toltèques » qui explique qu'il ne faut pas réagir aux choses de façon personnelle. Si quelqu'un fait une réflexion, une critique, cela ne regarde que lui. 

Il projette chez les autres ce qu'il a peur de voir en lui. Cela signifiait que je n'avais pas à m'inquiéter des accusations de la dame du forum qui avait une opinion très négative de moi, car ce qu'elle pensait ne regardait qu'elle. 

Mais je n'avais pas à être blessé de ses remarques. Cette façon de voir les choses m'a semblé extrêmement intéressante.
Allons plus loin dans cette réflexion. Imaginons qu'un ami vous accuse d'être paresseux par exemple. Ne prenez pas cette réflexion au sérieux. Il n'y a que vous qui puissiez décider ce que vous voulez changer dans votre vie, ce que vous voulez faire, ce qui est important pour vous. Personne n'a à vous dicter votre conduite. Donc, cet ami vous accuse de paresse. 

La question à vous poser n’est pas est-ce que oui ou non vous êtes paresseux, mais en quoi cet ami se sent paresseux dans certains domaines de sa vie. Peut-être que l'on vous accuse de vous laisser aller dans votre travail, alors que la personne qui vous fait ce reproche se laisse aller dans les tâches ménagères. Mais cette personne a l’impression de se laisser aller dans un domaine précis, sinon elle ne ferait pas ce reproche ! Si elle est sensible à cela, c’est justement parce que ça lui « parle », parce qu’elle sent cette « caractéristique » en elle.

Ce n'est qu'un exemple. Ce que je veux dire, c'est que ce que les autres voient chez nous sont aussi présents eux, mais pas forcément dans le même domaine (vie privée, vie professionnelle, amour, amitié, loisirs etc.). Il faut savoir que lorsque nous jugeons quelqu'un, la plupart du temps, c'est que nous projetons les défauts que nous avons peur d'avoir sur les autres.

mardi 18 octobre 2011

Ton Blog est pourri!!!

Il m'arrive quelquefois d'intervenir sur des forums afin de donner des conseils et de faire connaître mon blog. L'autre jour, j'ai simplement partagé une vidéo de mon blog, lorsque l'on m'a attaqué sur « l'inutilité » de mon travail. Entre-temps, le sujet, qui a déclenché beaucoup de polémiques a été supprimé. 

Mais, je partage avec vous la vidéo que j'ai faite pour me « défendre ».  Je mets le texte au-dessous de la vidéo pour ceux qui préfèrent lire au lieu d'écouter. 




Ton Blog est pourri!!!

Depuis pas mal de temps,  j’aime suivre attentivement un forum à  cause de sa grande connaissance et de son savoir-faire pour aider des gens d’un point de vue psychologique.

Un jour, une charmante dame m’a dit : « Ton blog est inutile » « Tu fais du copier-coller » « Je pense sincèrement que ton blog n'est aucunement utile, désolée. Que ce qui est dit soit de bonnes astuces, ce n'est pas le propos: elles sont partout. C'est comme dire "mangez 5 fruits/légumes par jour": pareil.»

Elle m’a blessé. Oui, elle m’a vraiment blessé.
Et oui !!! Cette dame aide à des gens à se sentir bien, elle est là… elle répond à quelques personnes.
Mais à moi, elle m’a cassé… elle ne m’a pas aidé… bien au contraire, elle m’a démoralisé. Jusqu’au point qu’elle m’a fait douter : je me suis demandé s’il était convenable de continuer avec mon blog. 
J’y ai pensé pendant toute la nuit, et il est actuellement 7 :00 du matin.
Mon blog est pourri ? Je ferme ? Je suis un guignol ?

Qu’en penses-tu Jacqueline ? Mes conseils simplistes ton servi à quelque chose ? 

Et toi Didier ? Quand tu t’es présenté directement sur ma boite mail en me demandant un conseil au sujet de ton frère ?

Djamila de Casablanca ? Comment est l’ambiance chez toi depuis que l’on a eu une conversation téléphonique parce que tu avais des difficultés à t’exprimer en écrivant en français ?(Les prénoms ont été changés.)

Je pourrais poser la même question à toutes les personnes avec qui j’ai eu des conversations en direct par mail notamment. 
 
Que dois-je faire après l’affirmation de cette dame que la présence de mon blog n’est pas à sa place dans le forum ? Je cite sa phrase :
«  Je pense que ton blog n'est pas au bon endroit, du tout. » Wouaou !!! C’est dur à avaler…

Francine !… Comment m’as-tu connu ? Où as-tu vu l’adresse de mon blog ? Comment te sens-tu ici ? Je cite directement tes phrases :
« Je me sens comme à la maison dans ton blog… Merci de me répondre avec tes exemples qui sont si facile de comprendre… »
"Depuis que je te connais, j’ai comme une impression d’avoir un frère qui m’oriente toujours dans la bonne direction…Merci Antoine d’être comme tu es…"

Quand je vois des commentaires comme ceci, je veux m’améliorer encore plus. Je veux en donner plus…Et la réponse est non. Je ne vais pas fermer mon blog.
Et l’autre réponse est oui, je vais continuer à me faire connaitre sur les forums, pour inviter d’autres personnes à venir à la maison.
Parce que ici c’est petit, c’est simple, sympa, joli, harmonieux, c’est décoré à ma façon, c’est dit à ma façon, et c’est chez moi… donc tout le monde peut venir.

Ahhhh ! J’oubliais autre chose importante…
Cette charmante dame qui dit aider les gens (je n’en doute absolument pas) sauf moi, me dit… Je cite textuellement :
« Ton blog, excuse-moi la dureté, ne sert strictement à rien à part à toi même, comme bon nombre de ses équivalents faits de copier-coller.. »   Ufffff !!!

Qui ne s’inspire pas des idées lues ailleurs pour fonder les siennes ? Nous sommes nés en sachant tout ce que l’on sait ? Ne prenons nous pas une citation ou une idée de quelqu’un très renommé pour donner le bon exemple ?

C’est vrai, des fois je fais du copier-coller… un en particulier que j’adore et pour laquelle j’ai fait un article et audio. Il s’agit de Charlie Chaplin « Le jour où je me suis aimé pour de vrai»… Un texte que j’adore et que j’ai partagé avec mes lecteurs. Et bien il y avait beaucoup de personnes qui ne le connaissaient pas, et d’autres qui oui le connaissaient mais qui ont eu beaucoup de plaisir à le relire et à à l’écouter avec ma voix.

Il y a-t-il quelque chose de mal à réinterpréter une citation, un article ou encore un livre et faire « de la pub » et aider d’autres personnes qui n’ont pas eu la chance de tomber dessus avant ?
Parce que selon la façon de penser de cette dame… tout ce qui a été dit une fois, ne peut pas être redit, reformulé ou expliqué, sinon c’est du copier-coller…

Je suis désolé ma chère dame, moi quand j’écoute quelque chose qui me plait, je le partage avec mes proches.
Enfin bref… on m’a fait sentir comme un délinquant, on a voulu me casser, et me jeter en disant que je ne suis pas le bienvenu. Mais je crois que ce n’est pas l’avis de tout le monde.
En plus, comment peut-elle critiquer un blog sans le lire ? En survolant comme elle dit ?
Je cite textuellement :
« Antoinecar, ce qui est rigolo, c'est que non, je ne lis pas grand-chose.
Il suffit de survoler, à la fnac, sur internet, dans les magazines féminins, les articles de ce site même etc.. »

Non… Je ne pense vraiment pas que ce soit une bonne action de casser des gens comme ça… sans savoir ce qu’ils sont réellement.
Détruire est très facile à faire, et en plus on peut faire très mal à autrui et des fois sans s’en rendre compte. Mais soyons plus humain. Si l’on parlait uniquement pour voir les choses positives de tout ce qui nous entoure, la vie serait réellement différente.

Ma chère dame, je m’adresse directement à vous maintenant…

Croyez-vous réellement que je sois un excrément de la société pour me parler de la façon donc vous l’avez fait, ou… respirez un bon coup, prenez votre tête entre vos mains, fermez les yeux, et pensez à moi pour un instant seulement, mais avec votre cœur…
N’y a-t-il pas des choses positives en moi ?
Même si votre réponse est un tout petit « oui »…Et bien vous n’avez pas le droit de me considérer comme vous l’avez fait.
Nous sommes ici pour un même but. De s’entre aider entre nous…
Mais chacun à sa façon…

Vous m’avez attaqué et je me suis défendu, mais maintenant gardons notre énergie pour ce qui en vaut la peine.
Donc,  si vous n’avez pas le même point de vue que moi et que cela vous gêne, et bien c’est votre problème, mais s’il-vous-plaît, laissez-moi tranquille…

Je ne fais de mal à personne.





La vidéo s'arrête ici....


Voici le message que j'ai reçu de Véronik, lectrice du blog, hier...


Bonjour Antoine,

Je suis sidérée par les propos de cette dame !
Si pour elle, le blog ne sert à rien, il en va tout autrement pour d'autres.
Moi, je suis ravie d'être un jour tombée sur votre blog, je suis ravie d'être entrée en relation avec vous, d'avoir échangé et profité de vos soins et conseils.
Les audios que vous m'avez envoyé sont la preuve de votre bonté, de votre envie, de faire du bien autour de vous dans un périmètre très large puisque la planète
entière peut profiter de vos propos. 
Sans ce blog, je ne vous aurait probablement jamais rencontré de ma vie.
Si ce blog déplaît à cette dame, qu'elle aille voir ailleurs. 
C'est ça la démocratie et la liberté de choisir ce qui est bon ou pas pour soi.
Elle a le droit de ne pas aimer mais pas d'incriminer !

Là, j'ai pris mon clavier pour vous apporter mon soutien pour votre blog en toute amitié.
Grâce à lui, j'ai découvert le texte de Charlie Chaplin que je ne connaissais pas et qui de toute beauté. Donc, merci de me l'avoir fait découvrir car il est magnifique.
Ne doutez pas du bien que vous pouvez apporter Antoine.
Je vous souhaite de continuer longtemps à nous offrir des solutions de bien-être.

Si vous le souhaitez, vous pouvez diffuser ce mail sur votre blog.
Bonne journée Antoine et gardez courage car votre travail n'est pas vain.
Bien cordialement,

mardi 11 octobre 2011

6 autres idées pour penser positivement et être optimiste

1.       Fréquentez au maximum les gens optimistes. C'est une habitude à prendre. Si vous ne connaissez personne dans un endroit, allez en priorité vers ceux qui vous semblent joyeux. Si vous vous sentez un petit peu triste, appelez en priorité votre ami le plus optimiste, pas celui qui voit tout de façon négative.

2.       Prenez l'habitude de poser des questions. Plus vous comprenez les choses, plus tout est facile.  Il vaut mieux demander un collègue comment se servir du nouveau logiciel de votre entreprise que de batailler des heures. Accepter de ne pas savoir, et l'avouer permet d'éviter de nombreuses pensées négatives lorsque l'on n’arrive pas à faire quelque chose, lorsqu'on ne sait pas quelque chose. Soyez ouverts. Acceptez que vous ne savez pas tout, et que vous apprenez constamment. Tout le monde peut vous apprendre quelque chose.


3.       Ayez confiance dans les autres. Il est vrai que cela peut sembler risqué. Mais à moins que vous ayez de sérieuses raisons de douter de quelqu'un, faire confiance à une connaissance ou à un collègue de travail permet des relations plus harmonieuses.

4.       Pardonnez-vous. Vous avez certainement commis des erreurs, vous avez certainement échoué certaines choses. Mais vous devez lâcher prise pour éviter l'angoisse. Pardonnez-vous d'avoir commis des erreurs, cela arrive à tout le monde.


5.       Apprenez de vos expériences. Vous n'apprenez pas de la même façon aujourd'hui que quand vous étiez à l'école. À l'école, on apprend une leçon, puis on passe un examen, on fait un contrôle. Dans la vraie vie, on fait d'abord un examen avant d'apprendre la leçon. Si nous échouons dans cette épreuve, nous tirons une leçon de cet échec et nous évitons de commettre la même erreur deux fois.

6.       Dites adieu à vos problèmes.  A la fin de la journée, avant d'aller dormir vous n'avez pas besoin de garder vos mauvaises expériences de la journée, les moments négatifs, les soucis. 
      
    
    Laissez-les aller, jetez-les par la fenêtre, dites-leur au revoir (non, je ne plaisante pas ; c'est une façon intéressante et théâtrale de faire comprendre à votre cerveau qu'il faut lâcher prise)