jeudi 29 janvier 2015

Quelques autres blogs intéressants...

Voici quelques blogs dont j'aime bien les articles:

http://changer-esprit.blogspot.fr/

Ce blog explique comment on peut changer sa vie en changeant sa façon de voir les choses.

http://etre-creatif.blogspot.fr/

Ce blog donne des conseils pour développer sa créativité...

http://jeveuxunbeaucorps.blogspot.fr/

Des conseils liés au bien être physique...

http://me-sentir-belle.blogspot.fr/

Pour les femmes: des conseils cocooning...

https://pratiquesconseils.wordpress.com/

Il s'agit d'un excellent blog sur les affirmations positives: comment on peut se remotiver, se sentir mieux, rien qu'en prononçant avec conviction quelques phrases tous les jours. Sur ce blog, vous obtiendrez aussi gratuitement 25 conseils pour la confiance en vous.

Ne repensez pas aux causes de votre colère

Lorsque nous sommes en colère, nous avons tendance à nous focaliser sur ce qui nous met en colère. Par exemple, si un automobiliste vous coupe la route, vous allez pendant de longues minutes vous repasser le film dans votre tête. Votre esprit sera focalisé sur l’éventuel accident que vous avez évité et, évidemment, vous allez vous énerver contre la personne fautive. Cette mauvaise habitude a tendance à intensifier votre colère.
Quelle est la solution ?
Connaissez-vous la technique d’arrêt de la pensée ? La médecine des arts la définit ainsi : La technique d’arrêt de la pensée consiste à apprendre au patient à intérioriser un stop externe, qui lui permet ensuite l’autocontrôle de ses pensées.
Dans notre exemple, au lieu de vous acharner sur l’automobiliste en profanant de nombreuses insultes, vous pourriez vous dire : « bon, finalement, il n’y a pas eu d’accidents autant passer à autre chose ». Si cela ne fonctionne pas au premier essai, n'abandonnez pas, mais ne cherchez pas à provoquer des accidents, entrainez-vous chaque fois que vous vous sentez focaliser sur une situation qui ne vaut pas une telle dépense d'énergie.
Appliquer cette stratégie dès le départ vous garantira d’excellents résultats puisque votre niveau de colère sera faible. Ensuite, vous couperez court à vos pensées négatives pour éviter qu’elles n’enveniment une situation finalement souvent banale. Pour certaines personnes, cette technique ne fonctionne pas, puisqu’elles continueront à penser à la cause de leur colère. Une alternative consiste à penser à un souvenir heureux :
 La naissance de vos enfants.
 La première rencontre avec votre époux(se).
 Un souvenir d’enfance, etc.
L’objectif étant que vos mauvaises pensées soient écartées pour laisser place à celles positives.

vendredi 16 janvier 2015

Quand vous êtes énervé, éloignez-vous de la source de votre colère...

Si vous êtes énervé, il y a une raison précise, quelqu’un ou quelque chose vous énerve. Par conséquent, tant que vous restez à proximité de cette source de colère, vous n’arriverez pas à faire baisser la pression. Au contraire, si vous vous éloignez, la colère diminuera. La raison est toute simple : en vous éloignant, la personne n’aura plus la mainmise sur vous et vos émotions.
Si je reprends mon exemple du mari regardant la télévision avec sa femme, la solution aurait été de quitter la pièce durant quelques minutes. Comme la cause de son énervement n’était plus dans la même pièce, il aurait pu se calmer.
On peut prendre un autre exemple, mais dans un environnement différent, je pense notamment au lieu de travail. Il arrive souvent d’avoir des conflits avec ses collègues ou ses supérieurs. Dans les deux cas, il est important de garder son sang-froid, car les dérapages peuvent avoir une répercussion directe sur votre avenir au sein d’une entreprise. Dans cette situation, il est préférable de quitter la pièce, de se calmer, puis de revenir en essayant de poursuivre la discussion ou l'échange.

Après une dispute, vous vous sentez coupable...

Il arrive souvent qu’une personne s’excuse après s’être énervée. Dans ce cas, la culpabilité a été plus forte et elle cherche à se faire pardonner. Malheureusement, il est trop tard.
Pour comprendre, il suffit de prendre un exemple. Vous regardez la télévision avec votre femme et elle commence à commenter l’actualité ce qui a le don de vous énerver. Elle fait une première remarque, vous ne dites rien. Elle fait une seconde remarque et prit d’une violente colère, vous lui dites : « arrête de parler, tu m’énerves ». Votre femme se vexe et quitte la pièce. Vous la suivez pour vous excuser, car vous vous sentez coupable.
Que devez-vous faire ?
Finalement, vous avez le choix :
 Soit vous vous sentez coupable après avoir commis l’acte.
 Soit vous vous sentez coupable avant de commettre l’acte.
Par conséquent, il est toujours intéressant de mesurer les conséquences avant d’agir. Si vous devez vous excuser ensuite, ne vous énervez pas et ne faites rien. Préférez trouver une alternative pour faire comprendre à la personne votre énervement, ou bien fuyez pour revenir une fois calmé.

Quand vous êtes en colère et que vous vous disputez, ne cherchez pas à avoir le dernier mot !

Si vous avez l’habitude de vouloir avoir toujours le dernier mot, vous devrez la modifier.
Pour quelle raison ?
Discuter avec une personne sans réussir à se mettre d’accord a généralement toujours la même finalité : les esprits s’échauffent et les échanges se font de plus en plus violents.
Si la personne en face décide de « fuir », tout se passera bien, mais si elle veut aussi avoir le dernier mot, la situation peut déraper très rapidement.
Que devez-vous faire ?
Plus vite vous laissez la personne avoir le dernier mot, plus vite vous réglerez la situation. De toute manière, commencer un « combat » n’est pas utile puisque les deux parties finissent par ne plus s’écouter, elles veulent simplement imposer leurs idées par la force, cela ne fonctionne pas.
Au contraire, si vous laissez la personne avoir le dernier mot, tout en ayant pu vous exprimer, alors elle acceptera plus facilement votre requête.
Sans oublier que certaines fois vous aurez tort, donc autant éviter un combat perdu d’avance. Plus vite vous reconnaissez vos erreurs, plus vite vous pourrez passer à autre chose.

mardi 6 janvier 2015

Pour la colère: le combat, la fuite, une 3e solution ?

Devant un danger, nous avons généralement le choix entre deux options : la fuite ou le combat. Par exemple, si votre maison prend feu, vous essayerez d’abord de fuir la menace, et si c’est impossible, vous affronterez les flammes pour trouver une brèche.
Dans le cas d’une altercation avec une personne, vous pourrez soit vous mettre en colère et en venir aux mains, soit tourner les talons (fuite) pour éviter les problèmes.
Malheureusement, ces deux options ne vous sont pas d’une grande aide pour gérer votre colère, soit elle l’augmente, soit vous la gardez jusqu’au jour où elle explosera.
Quelle est la solution ?
Il existe une 3e possibilité, souvent oubliée, elle consiste à fuir dans un premier temps, puis à revenir pour discuter calmement afin de résoudre le problème. Ainsi, vous évitez le combat qui ne fait qu’aggraver la situation.
Remarques : pour certaines personnes, la fuite est contre nature. Si c’est votre cas, vous devrez déjà faire un effort pour maîtriser votre colère, comme je vous l’ai expliqué dans le chapitre précédent. C'est-à-dire que vous ne devrez pas dépasser le stade de l’énervement.
Certaines fois, ce sera la personne en face qui sera en colère et les chances pour qu’elle connaisse la 3e solution sont faibles. Cependant, si elle vous voit fuir, sa colère devrait diminuer. Si elle vous provoque de plus belle, ne réagissez surtout pas. Revenez vers elle seulement lorsque vous aurez retrouvé votre calme. Suivant la situation, la discussion pour régler le problème n’est pas utile. Ces conseils fonctionnent surtout avec votre famille, vos amis, et vos connaissances.

Être agacé, OUI, être en colère, NON.

On est rarement en colère pour un rien. Généralement, c’est un long processus et la gêne ou l’agacement sont les premiers niveaux.
La plupart du temps, on n’est pas obligé de contrôler notre agacement, dans le cas contraire, on ne pourrait pas vivre normalement. Effectivement, les gênes sont habituelles au cours d’une journée :
Les enfants se disputent le matin, alors qu’ils ont déjà 5 minutes de retard et qu’ils ne sont toujours pas prêts.
Vous êtes en voiture et, à un carrefour, un automobiliste vous coupe la priorité à droite.
Vous êtes en retard et tous les feux tricolores passent au rouge.
Vous n’arrivez pas à trouver une place pour vous garer, etc.
Dans notre exemple, nous n’avons pas encore débuté la journée de travail, mais nos nerfs ont déjà été mis à rude épreuve.
Le problème est si la personne accumule toutes ces gênes, elle peut alors se mettre en colère et la situation risque de dégénérer, par exemple, si un supérieur fait une remarque concernant son retard.
Quelle est la solution ?
Voici plusieurs conseils pour éviter qu’une simple gêne se transforme en colère avec le temps.
La gêne est-elle si importante que ça ? Être obligé de s’arrêter tous les 100 mètres à cause d’un feu rouge peut agacer, mais ce n’est pas la fin du monde. Et puis, pensez à toutes ces fois où vous avez traversé la ville sans avoir le moindre feu rouge.
Pourquoi s’énerver ? La personne vient de vous couper la route, vous avez dû freiner brutalement, mais est-ce une raison pour la traiter de tous les noms ? D’ailleurs, la voiture est déjà loin et la personne ne vous entend pas. Il est inutile de ruminer, car à part vous énerver, cela ne sert à rien. Dans ces situations, une bonne insulte suffit, puis passez à autre chose, par exemple en mettant de la musique, en parlant avec une personne, etc. L’objectif est de vous occuper l’esprit.
Vous n’êtes pas une victime. Se considérer comme une victime est beaucoup trop simple. Au contraire, vous devez passer à l’action pour régler les problèmes (si c’est possible). Dans notre exemple, tout a commencé à cause du retard des enfants. Ensuite, les événements ont fait que ce retard a augmenté. Si la personne était partie à l’heure, elle ne serait peut-être pas arrivée avec 15 minutes de retard, et son supérieur ne lui aurait pas fait remarquer.
Être capable de relativiser est inné pour certaines personnes, les autres devront apprendre à le faire. Ce « don » vous aidera dans toutes ces situations où votre sang froid est mis à rude épreuve, c'est-à-dire à longueur de journée.
Vous aurez compris que la solution consiste à accepter la situation pour ce qu'elle est, puis à passer rapidement à autre chose, pour éviter d’accumuler toutes les gênes pouvant, au final, vous mettre en colère pour une broutille.

Des réactions différentes à la colère suivant les personnes

Puisque nous sommes tous différents, nos réactions à la colère diffèrent aussi. Généralement, on en constate 3 :
 Passif
 Agressif
Assuré
Voyons les avantages et les inconvénients de ces 3 types de réaction.
LA COLÈRE PASSIVE.
Les personnes enferment leurs sentiments, elles essayent de cacher leur colère à leur entourage.
Pour quelles raisons ?
Cacher sa colère permet d’éviter les confrontations. Elles veulent ainsi maintenir de bonnes relations avec leur entourage. Une autre raison serait qu’elles ne souhaitent pas être rejetées à cause de leur colère.
Quelles que soient les raisons, la colère passive peut avoir des répercussions néfastes sur la santé des personnes, la dépression par exemple.
LA COLÈRE AGRESSIVE.
Contrairement au premier type, on sait, lorsqu’une personne est en colère, qu'elle aura généralement du mal à garder son sang-froid et la solution consiste dans la plupart des cas à s’énerver violemment contre les personnes autour de soi.
De toute évidence, le risque le plus couru sera une sérieuse détérioration des relations. Même si la personne se sent mieux après s’être énervée, son entourage, au contraire, préférera s’éloigner.
LA COLERE ASSUREE.
Contrairement aux deux premières réactions, une personne ayant une colère assurée réussira à exprimer sa colère, tout en gardant un certain contrôle sur ses émotions. C’est le juste milieu entre les deux autres types plutôt situés dans des extrêmes.
Atteindre cet objectif est intéressant puisque de toute manière, vous ne pourrez pas vous empêcher totalement d’être en colère. Dans ce cas, autant que votre colère soit constructrice et non destructrice.
Finalement, la clé est d’apprendre à exprimer vos valeurs, vos convictions et vos besoins, tout en traitant votre interlocuteur avec dignité. C’est valable dans n'importe quelle situation, même lorsque vous êtes simplement énervé.
Pour y arriver, vous devrez déjà savoir contrôler votre colère. Grâce aux techniques que vous allez découvrir dans quelques secondes, ce sera un jeu d’enfant.